La scatophilie est un état d’un être humain qui aime le sexe dégueu en avalant le sperme, de l’urine, du vomi ou de l’excrément de son partenaire. Psychologiquement, ce sont des personnes ayant un trouble sexuel qui aiment pratiquer ce genre de chose.
Comment peut-on avaler ou jouer avec les excréments de l’autre ?
La pratique scato est remarquée dans le domaine du BDSM. Soumis et dominant, deux acteurs qui jouent un rôle dans leur vie de couple. Leur but est d’éloigné du cliché classique du sexe et de s’inventer une autre manière de prendre plaisir. Dans le concept du scato, il y a des personnes qui aiment se mettre à la merci de son partenaire pour se repentir de ses péchés, et le partenaire accepte d’évacuer ses saletés sur la personne ou dans sa bouche afin qu’il n’y ait plus de prochaine fois. Mais la plupart des gens aiment se trouver dans cette situation, car la punition est très légère, vu que la scène se passe dans l’intimité du couple, alors ils feront d’autres bêtises et le scato devient pour eux une habitude. Dans la plupart des scènes, c'est souvent la fille scato qui aime jouer avec les excréments de son homme ou de sa partenaire féminine.
Les risques d’une relation sexuelle scato
Le risque sur la santé est direct, parce que les excréments sont les résidus du corps humain avec des microbes à jeter. Si on inflige ces produits dans le corps, on peut attraper des maladies d’infection. Mais les excréments sont également des porteurs directs de VIH, donc on ne s’y échappe pas. Ceci peut devenir très grave pour le récepteur si l’envoyeur s’affiche avec une lésion à force de pousser ses excréments. L’odeur qui en sort est déjà désagréable pour les poumons, bien que la plupart des rapports médicaux disent que respirer la flatulence des autres personnes peut guérir, il y a une certaine limite à l’être humain de supporter les mauvaises odeurs de caca.
Pour guérir de la maladie de coprophile ou la scatophilie, il faut suivre une thérapie mentale et se gaver de vitamine.